Loi de finances et budget au cœur de la rencontre Saïed–Zaafrani
Le président de la République, Kais Saïed, a examiné, hier mercredi, avec la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, le projet de loi de finances et le budget de l'Etatpour l’année 2026.
Selon un communiqué de la présidence, le chef de l’État a souligné la nécessité de placer la dimension sociale au cœur des priorités, tout en engageant des réformes structurelles profondes des finances publiques. Il a précisé que l’héritage, laissé dans de nombreux domaines, est particulièrement lourd et qu’il est du devoir de l’État de relever les défis avec des approches novatrices et une vision renouvelée.
Il a ajouté que les équilibres économiques ne se limitent pas à de simples chiffres ou calculs, mais qu'ils doivent être des tangibles, ressentis par chaque citoyen dans sa vie quotidienne et ce, dans toutes les régions du pays.
Le président Saïed a rappelé que la Tunisie, ayant choisi de compter sur ses propres forces, a honoré l’ensemble de ses engagements financiers et remboursé ses dettes à temps, bien que le peuple n’en ait pas toujours récolté les bénéfices escomptés. Il a affirmé que ce choix souverain dément ceux qui regrettent, aujourd’hui, l’époque du contrôle financier étranger et appellent à une ingérence extérieure.
Le chef de l’État a, également, évoqué le dysfonctionnement persistant de plusieurs services publics, réaffirmant que toute personne manquant à ses devoirs et considérant la responsabilité publique comme une source de privilèges ou d’avantages personnels, devra en assumer les conséquences, d’autant plus que ces manquements sont souvent délibérés. Il a insisté sur le fait que cette situation ne saurait perdurer.
Il a, par ailleurs, dénoncé la persistance d’une “administration profonde” désormais visible au grand jour, affirmant qu’il n’y a plus de place pour des centres de pouvoir parallèles ni pour les vestiges des lobbys au sein des institutions de l’État; "un État dont le peuple a choisi la voie de la justice, de la liberté et de la dignité, et qui a payé le prix du sang pour son indépendance et sa libération", a-t-il dit.
Le président de la République a ainsi réaffirmé que l’avenir appartient à la jeunesse, à laquelle il faut ouvrir la voie sans délai, afin qu’elle puisse contribuer, avec passion, dévouement et créativité, à la construction d’une Tunisie telle que dont elle la rêve : une Tunisie de justice, de liberté et de dignité nationale.
Il a enfin assuré que ces aspirations ne sont pas de simples chimères, comme celles des comploteurs, mais bien des espoirs concrets qui se réaliseront et des attentes légitimes qui ne seront pas déçues.
Il a par ailleurs dénoncé la persistance d’une “administration profonde” désormais visible au grand jour, affirmant qu’il n’y a plus de place pour des centres de pouvoir parallèles ni pour les vestiges des lobbys au sein des institutions de l’État, un État dont le peuple a choisi la voie de la justice, de la liberté et de la dignité, et qui a payé le prix du sang pour son indépendance et sa libération.
En conclusion, le président de la République a réaffirmé que l’avenir appartient à la jeunesse, à laquelle il faut ouvrir la voie sans délai, afin qu’elle puisse contribuer avec passion, dévouement et créativité à la construction d’une Tunisie telle qu’elle la rêve : une Tunisie de justice, de liberté et de dignité nationale.
Il a enfin assuré que ces aspirations ne sont pas de simples chimères, comme celles des comploteurs, mais bien des espoirs concrets qui se réaliseront et des attentes légitimes qui ne seront pas déçues.